Pourquoi les femmes n’hésitent-elles plus à faire poser des implants mammaires ?

En seulement quelques années, la chirurgie des seins est devenue l’une des plus demandées dans le monde. Pourtant, elle souffrait d’une assez mauvaise réputation dans les années 1990 et au début des années 2000 à cause notamment des excès de certains praticiens d’outre-Atlantique. Aujourd’hui, la plupart des interventions sont réalisées dans le but de corriger un défaut ou d’améliorer un trait physique sans avoir de cicatrices visibles. Or les progrès en matière d’augmentation mammaire ont été impressionnants ces derniers temps.

Des solutions plus naturelles

Il y a encore quelques années, les femmes qui avaient recours à une chirurgie d’augmentation mammaire n’avaient que pour unique solution les prothèses en silicone. Si elles sont encore utilisées dans certains cas, les praticiens et les patientes peuvent aussi opter pour des prothèses constituées d’eau saline. Elles donnent au sein une texture plus naturelle et ne sont pas dangereuses en cas de rupture. Pour gagner de petits volumes, corriger une asymétrie ou une déformation, l’injection de graisse a également fait ses preuves.

Des techniques peu invasives

Aujourd’hui, les instruments des chirurgiens et les techniques opératoires permettent de réaliser des gestes de plus en plus précis et de travailler sur des zones très restreintes. D’abord, cela permet de réaliser des interventions de plus en plus ciblées pour obtenir des résultats plus naturels. De plus, ils ont appris de nouvelles techniques qui leur permettent de cacher les cicatrices. Par exemple, pour poser une prothèse mammaire, il est possible de passer par le pli sous le sein, par l’aisselle ou par l’aréole. La cicatrice est pratiquement invisible.

Un temps de convalescence réduit

L’avantage avec ce type de techniques chirurgicales, c’est qu’elle limite le temps de convalescence. Après une telle intervention, vous aurez la possibilité de rentrer chez vous le jour même si vous êtes opérée le matin. Vous devrez porter un soutien-gorge spécial pendant un mois. Bien entendu, la reprise d’une activité physique nécessitera plus de temps et l’avis d’un médecin, mais le nombre de jours d’arrêt nécessaires est très réduit.

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